M. Lecaille au travail. |
Colembert possédait une poterie dont le rang était plus qu’honorable dans la hiérarchie française de cette spécialité.
Dans les années d’après guerre, quelques 60 ouvriers trouvaient dans les modestes constructions de l’entreprise, leur gagne-pain en fabriquant journellement une quantité incroyable de pots de fleurs de toutes dimensions.
Cette poterie était l’héritière naturelle d’une tuilerie nommé LECAILLE-DORET créée en 1854. Cette entreprise utilisait 35 à 40 tonnes de terre argileuse provenant de Nabringhen et de Longfossé.
(extrait des mémoires Desvres et son canton)
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Ouvriers de la poterie à la fin du 19ème Siècle. |